5 propositions de changement de logo en image...
Pour les autres, vous pouvez consulter le site : http://www.eelv.fr/?id=5924
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Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on se retrouve toujours dans les étoiles".
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Les membres du Conseil fédéral choisiront lors de leur prochaine réunion, les 29 et 30 janvier, le logo d'Europe Ecologie - Les Verts.
Aujourd'hui, 20 projets sont en lice, une commission ad-hoc comprenant 15 membres du Conseil fédéral et 10 membres du Bureau exécutif est chargée de réduire la liste à 5.
Donnez votre avis sur les projets, leurs auteurs vous lisent et tiendront compte de vos remarques pour améliorer leurs propositions.
" Les autres propositions seront publiées au fur et à mesure", dès demain vous retrouverez d'autres logos en lice. Choisissez bien votre logo du mouvement écologie politique.
Les membres du Conseil fédéral choisiront lors de leur prochaine réunion, les 29 et 30 janvier, le logo d'Europe Ecologie - Les Verts.
Aujourd'hui, 20 projets sont en lice, une commission ad-hoc comprenant 15 membres du Conseil fédéral et 10 membres du Bureau exécutif est chargée de réduire la liste à 5.
Donnez votre avis sur les projets, leurs auteurs vous lisent et tiendront compte de vos remarques pour améliorer leurs propositions.
le projet n°1 :
Fin 2010, 1.136 éoliennes en mer d'une capacité de production totale de 2.964 MW, fournissaient de l'électricité pour l'équivalent de 2,9 millions de foyers européens moyens, soit les villes de Berlin et Bruxelles réunies.
Un séisme de magnitude 7,3 s'est produit jeudi au large de la Nouvelle-Calédonie, dans le sud du Pacifique, rapporte le Centre américain de veille géologique.
L'épicentre de la secousse enregistrée à 18 h 15 a été localisé à 124 kilomètres au nord-est de Tadine, dans les îles Loyauté, et à 7,2 kilomètres de profondeur. Selon le centre d'alerte du Pacifique, elle ne devrait pas déclencher de raz-de-marée important, mais un phénomène localisé n'est pas exclu.
(Article Lemonde.fr).
La région montagneuse près de Rio, dévastée par des pluies qui ont déjà fait plus de 500 morts, attend avec anxiété de fortes précipitations pour vendredi 14 janvier alors qu'elle fait face à la pire catastrophe naturelle de l'histoire du pays.
Selon un décompte fait par le site G1 du groupe de presse Globo, les inondations et éboulements de terrain provoqués par les pluies torrentielles, dans la nuit de mardi à mercredi, ont fait 506 morts. Le site UOL, pour sa part, a cité le chiffre de 501 morts. D'après G1, citant les municipalités concernées, on a dénombré 225 morts à Nova Friburgo, 223 à Teresopolis, 39 à Petropolis et 19 à Sumidouro.
Les médias ont souligné que cette tragédie était "la plus grande catastrophe naturelle de l'histoire du pays". Elle dépasse en effet les glissements de terrain de 1967 à Caraguatatuba, sur le littoral nord de Sao Paulo, donnés jusqu'à maintenant comme la catastrophe la plus meurtrière, avec 436 morts.
La plupart des personnes qui ont trouvé la mort ont été surprises dans leur sommeil par des torrents de boue qui ont tout emporté sur leur passage, arbres, maisons, voitures.
Confrontée à sa première crise depuis son arrivée à la tête du pays le 1er janvier, la présidente Dilma Rousseff a survolé la région et s'est rendue à Nova Friburgo. Elle a jugé que la nature n'était pas seule en cause dans cette catastrophe, qui, dans cette ville, a surtout touché des logements de fortune installés au pied des collines."Se loger dans des zones à risque est la règle plutôt que l'exception au Brésil", a dit Dilma Rousseff. "Quand il n'y a pas de politique du logement, où vont vivre les gens qui ne gagnent pas plus que deux fois le salaire minimum ?" a-t-elle interrogé. Le gouvernement a déjà débloqué 780 millions de reals (350 millions d'euros) pour les sinistrés.
Les experts expliquent l'ampleur du drame par la conjonction de rares phénomènes naturels et de l'urbanisation sauvage. Résidences secondaires, auberges et hôtels des quartiers aisés ont autant souffert que les habitations précaires des quartiers pauvres occupant illégalement des zones à risque.
Le sel coûte cher et est dangereux pour l'environnement!
De nouvelles chutes de neige ont perturbé lundi le trafic routier et aérien dans le nord de la France et sur l'Ile-de-France, où un tiers des vols ont été annulés. "Les conditions de circulation restent délicates sur une majeure partie du réseau des départements placés en vigilance", écrit dans un communiqué la Sécurité routière, qui demande aux usagers de "différer leurs déplacements sauf nécessité absolue".
Près de 700.000 tonnes de sel sont répandues chaque année sur les routes françaises. Des opérations coûteuses qui ont aussi un impact écologique comme nous l'a affirmé ce matin, Stéphane Gatignon, notre GG d'un jour, maire Europe Ecologie/Les Verts de Sevran en Seine Saint-Denis : "Si ça continue nous nous dirigeons vers une rupture de stock ! De plus, le sel attaque énormément la voirie et même vos chaussures ! C'est extrêmement mauvais pour l'environnement car il s'écoule dans tous les réseaux de canalisation !"
Éco-construction et éco-réhabilitation pour tous
Construite avec des matériaux naturels et peu gourmande en énergie, la maison écologique et économique est tout à la fois un habitat durable où il fait bon vivre, un lieu respectueux de l’environnement et de la santé, et un investissement sur l’avenir.
Que vous souhaitiez acheter, améliorer ou rénover une habitation, si vous avez choisi d’en faire une maison douce, sachez :
Sélectionner les matériaux naturels de construction : bois, terre, pierre, paille…
Isoler efficacement et sainement votre maison : chanvre, liège, lin, ouate de cellulose…
Opter pour les énergies renouvelables : solaire, géothermie, éolienne…
Soigner votre intérieur : air, revêtements, éclairage…
Choisir les professionnels compétents et reconnaître les plus sérieux des signes de qualité et labels.
Bénéficier au mieux des différentes aides possibles.
Éviter pièges et litiges.
Fermeture du sommet de Cancun aujourd’hui : fébriles espoirs :
Onze jours de réunions et de négociations fébriles risquent fort de se conclure, pour les représentants des 200 Etats réunis à Cancun, par un long marathon nocturne de discussions. Chacun compte bien défendre sa position jusqu'au dernier moment. Quitte à lâcher du lest avant de risquer une réelle paralysie des négociations. L'enjeu de cette vaste partie de poker-menteur nous concerne tous : il s'agit tout simplement de savoir si les Etats du monde sauront ou non, sous l'égide de l'ONU, s'accorder sur des mesures a minima pour contrer le réchauffement climatique. Enjeu crucial, dans la mesure où l'échec cuisant du sommet de Copenhague a déjà eu un lourd retentissement sur les efforts de l'ONU pour trouver une parade internationale aux menaces qui pèsent sur le climat.
"Cancun peut encore marquer le moment où on tournera le dos à la déception dusommet de Copenhague", estime Jeremy Hobbs, directeur exécutif d'Oxfam International. "Mais la stratégie de la corde raide, les retards et les rumeurs transforment les négociations en un jeu de roulette russe, qui risque de faire que des millions de pauvres déjà touchés par le changement climatique seront les grands perdants". De nombreux points qui semblaient assez mûrs il y a quelques jours, tels le transfert de technologies propres vers le Sud, le mécanisme de lutte contre la déforestation (REDD+) ou l'aide financière, font encore l'objet de difficiles tractations. Et la question de l'avenir du protocole de Kyoto, seul traité juridiquement contraignant sur les réductions d'émissions de gaz à effet de serre des pays industrialisés - sauf les Etats-Unis - empoisonne toujours les discussions.
La menace d'un "écocide"
"Nous sommes sur le fil du rasoir, nous pourrions aussi bien déboucher sur un bon résultat que finir par une sortie de route", estime Chris Huhne, ministre britannique à l'Energie et au Changement climatique, chargé avec le Brésil d'une mission de médiation sur Kyoto par la présidence mexicaine de la conférence. A Cancun, le Japon, le Canada et la Russie ont annoncé qu'ils ne signeraient pas de prolongation de Kyoto si les pays en développement comme la Chine et l'Inde ne sont pas à leur tour concernés par des engagements chiffrés. Un projet de déclaration propose tout simplement de laisser la question en suspens et invite les ministres de l'environnement "à conclure aussi vite que possible les négociations sur une deuxième phase d'engagements du protocole de Kyoto".
"Si, ici à Cancun, nous abandonnons le Protocole de Kyoto, nous serons alors responsables d'un 'écocide', qui est l'équivalent d'un génocide", a dénoncé le président bolivien Evo Morales, selon lequel 300.000 personnes meurent chaque année, victimes de la désertification mais aussi d'inondations, de sécheresse ou d'autres épisodes météorologiques extrêmes, conséquences de l'accumulation dans l'atmosphère de gaz à effet de serre depuis la Révolution industrielle.
L'Inde fait un pas : que fera la Chine ?
La Bolivie exige que les émissions de gaz des pays riches, historiquement responsables de cette accumulation, soient réduites de moitié d'ici 2017 par rapport aux niveaux de 1990. Il s'agit d'une position maximaliste qui excède les demandes des pays africains les plus pauvres et des Etats insulaires les plus exposés à la montée du niveau des océans. Certains diplomates redoutent que le pays andin ne fasse dérailler toute la conférence, où l'unanimité est la règle. "D'intenses consultations sont en cours. Nous négocions d'arrache pied avec d'autres parties et c'est bon signe. Je suis convaincu que nous aurons une issue positive demain", a déclaré le délégué brésilien Luiz Figueiredo.
Signe encourageant pour l'avenir des discussions à moyen terme, l'Inde a, pour la première fois, évoqué la possibilité que son pays signe, un jour, un traité juridiquement contraignant sur ses émissions de gaz à effet de serre. Elle avait jusque-là, comme la Chine, toujours rejeté cette idée, mettant en avant la responsabilité historique des pays développés dans l'accumulation dans l'atmosphère de ces gaz qui contribuent au réchauffement de la planète. L'Inde vise une réduction de sa quantité de gaz à effet de serre par point de Produit intérieur brut - l'intensité carbonique - de 20 à 25% d'ici 2020 par rapport à 2005. Pékin s'est fixé de son côté un objectif de réduction des émissions de carbone par unité de PIB de 40% à 45% entre 2005 et 2020. Mais les deux géants asiatiques avaient toujours, jusqu'à présent, insisté sur la caractère volontaire de ces engagements. Toute la question, désormais, est de savoir si l'exemple indien aura un effet d'entraînement sur la Chine. La réussite du sommet de Cancun en dépend largement.
Les chinois font un geste pour le climat.
Greenpeace tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme alors que les négociations sur le climat à Cancun au Mexique ont commencé hier au niveau ministériel. “Une centaine de millions de personnes sont menacées par la montée des eaux”, ont indiqué les membres de l’organisation écologiste qui ont plongé dans le musée sous-marin de Cancun.
Hier, la Chine, le plus gros pollueur de la planète, a fait un geste. Elle a proposé pour la première fois de soumettre à une résolution onusienne contraignante les objectifs qu’elle a déjà pris de manière volontaire en terme d‘émissions de dioxyde de carbone.
En arrivant hier à Cancun, les ministres de près de 200 pays ont trouvé sur leur table des projets d’accord trop complexes. Selon la négociatrice européenne en chef. “Je dois dire que nous sommes inquiets, parce qu’il n’est pas possible en l‘état pour les ministres de finaliser de tels textes. Ils sont encore trop longs, il y a encore trop d’options et ils sont encore trop compliqués. Cependant, nous croyons qu’un résultat fort et équilibré qui aborde les inquiétudes de toutes les parties peut être atteint ici”.
Dans les rues de Cancun, la nuit dernière, des manifestants se sont attaqués à des fastfoods en dénonçant les dommages causés à l’environnement. La Conférence sur le climat qui a débuté le 29 novembre s’achève vendredi.