Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Notre Terre
  • : Ce blog va parler des différentes actualités environnementales. Touché par le film "Home", de Yann Arthus Bertrand, j'ai décidé de créer un espace dans lequel une communauté d'internautes pourra partager ces idées en matière d'environnement dans le seul but de sauver notre terre. Alors chaque initiative compte, de la plus petite à la plus grande. Chaque main tendue peut sauver une parcelle de notre Terre et à terme l'environnement et la paix globale.
  • Contact

Profil

  • Savarit Johnatan
  • Etudiant en histoire et en journalisme, le thème de l'environnement me préoccupe beaucoup sans toutefois faire les choses que je voudrais faire. J'espère que par ce biais quelques uns auront conscience de l'impact de l'Homme dans le MONDE.
  • Etudiant en histoire et en journalisme, le thème de l'environnement me préoccupe beaucoup sans toutefois faire les choses que je voudrais faire. J'espère que par ce biais quelques uns auront conscience de l'impact de l'Homme dans le MONDE.

Statistiques

 

69 289 visiteurs uniques

166 814 pages vues

Recherche

Citation du moment

Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on se retrouve toujours dans les étoiles". 

Archives

A voir!

Nouveau blog à visiter :
http://1001patrimoines.wordpress.com

 

Liens

18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 13:38

Des vols grâce à des déchets domestiques

La compagnie aérienne British Airways l’a annoncé cette semaine ; à partir de 2014, sa flotte volera grâce à un véritable biocarburant, créé à partir de déchets domestiques voire industriels.

http://www.enjeux.org/images/british-airwairs.jpg 

Pour cela, la construction d’une usine spécifique sera nécessaire. Elle va coûter près de 280 millions de dollars. Les quelques 500 000 tonnes de déchets qu’elle transformera en 73 millions de litres de carburants. La totalité de cette production sera acheté par la compagnie anglaise British Airways. Le marie de Londres, Boris Johnson, se félicite d’une telle initiative, et veut « multiplier ces nouveaux projets ». Il a qualifié ce projet de « fantastique ».

Selon la compagnie, ce nouveau carburant permettra de réduire de 95% les émissions de gaz à effet de serre, par rapport au carburant d’origine fossile utilisé aujourd’hui.

Pour les plus sceptiques qui se poseraient la question : L’usine va –t-elle polluer pour produire un tel carburant ? La réponse est négative. Cette usine sera pensée écologiquement à la construction. Elle est dite « neutre en carbone ». Sa construction devrait commencer cette année pour respecter le calendrier lancé par la compagnie British Airways.

Dans un premier temps un mélange entre énergie fossile et énergie bio sera envisagé ; avant le lancement du biocarburant pour une grande partie de la flotte aérienne anglaise prévu en 2014.

Une initiative à haut vol, permettant d’atterrir en douceur sur une terre moins négligée et moins polluée.

Partager cet article
Repost0
18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 10:56

Climat de défiance autour du GIEC


http://www.vincentrif.com/blog/giec2.gif
è

Equipe de Phil Jones (Université d’EAST ANGLIA en Grande Bretagne).

è Depuis Novembre 2009, climat de défiance autour du GIEC : le climategate.

o   Divulgation de mails piratés.

o   Erreurs du GIEC dans son rapport qui date de 2007 :

§  Le pourcentage du territoire des Pays Bas situé en dessous du niveau de la mer si le réchauffement climatique continue : 55% au lieu de 26% en réalité.

§  La fonte des glaciers de l’Himalaya prévue dès 2035, alors que rien de scientifique n’appuie cette idée.

è 1992 : signature de la convention climat de l’ONU.

è Le niveau marin grimpe de 3.3 mm par an, soit le triple de ce qui était obeservé durant la première moitié du 20ème siècle.

è Phil Jones plaide pour une publication de l’ensemble des données brutes de températures afin d’en finir avec le soupçon qui pèse sur leur traitement.

è Le GIEC a été créé en 1988 par l’organisation météorologique mondiale et le Programme des Nations Unies pour l’environnement.

è Le GIEC a obtenu le prix Noble de en 2007.

è Le président du GIEC est l’indien Pachauri.

è Au sein du GIEC, on compte selon Amadou Gaye :

o   450 auteurs principaux.

o   800 auteurs contributeurs.

è Amadou Gaye : directeur du laboratoire de physique de l’atmosphère et des océans de l’université de Dakar.

 

è Consensus pour le devenir du GIEC :

 

o   Mike Hulme (Université d’EAST ANGLIA) propose de dissoudre le GIEC, mais après la remise de leur rapport prévue en 2014.

o   Thomas Stocker, lui, insiste sur le respect des règles.

Partager cet article
Repost0
29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 23:14

20% des hommes consomment plus de 80% des ressources
de la panète.

Les dépenses militaires mondiales sont 12 fois plus élevées que l'aide au développement.

5 000 personnes meurent par jour du fait de l'insalubrité de l'eau.

1 milliard d'Hommes n'ont pas accès à l'eau potable.

1 milliard d'Hommes ont faim.

Plus de 50% des céréales produites et commercialisées dans le monde sont destinées à l'élevage et aux agro-carburants.

40% des terres cultivables sont dégradées.

Chaque année 13 milliards d'hectares de bois et de forêts disparaissent.

Un mammifère sur 4, 1 oiseau sur 8, un Amphibien sur 3 sont menacées d'extinction. Les espèces animales disparaissent 1000 fois plus rapidement que le rythme naturel.

Les 3/4 des ressources de la pêche sont épuisées ou du moins en fort déclin.


La température moyenne de ces 15 dernières années a été la plus élevée jamais enregistrée.

En 40 ans, la banquise a perdu 40% de son épaisseur.

Avant 2050, il pourrait y avoir plus de 200 millions dit réfugiés climatiques.

La moitié de l'humanité exercent l'agriculture, dont les 3/4 à la main.

 

En 50 ans on a modifié la terre plus rapidement que tous les hommes qui nous ont précédé.

 

Tout s'accélère : Au cours de ces 60 dernière année, la population du globe à triplé, 2 milliards d'hommes a rejoint les villes.

A Shangai 3 000 tours se sont érigées en 20 ans.

1 litre de pétrole fournit autant de puissance que 100 bras en 1 heure.

3% des paysans dans le monde possède un tracteur.

L'agriculture prélève 70% de l'eau consommée par tous les Hommes.

Bilan : il faut 100 litres d'eau pour produire 1 kilo des pommes de terre, 4 000 litres d'eau pour un kilo de riz, et 13 000 pour un kilo de boeuf. (Agriculture pétrolière). [Sans compter le pétrole pour sa production et son transport).

Les distances ne se mesurent plus en miles ou kilomètres mais en minute.

L'automobile : si tout le monde adoptait la politique de nos gouvernements capitalistes : on ne compterai plus 900 millions de véhicules dans le monde mais 5 milliards.

90% des échanges transitent par voie maritime.

Depuis 1950, des prises de pêche sont de 18 à 100 millions de tonnes par an : soit 5 fois plus. 3/4 des zones de pêche sont épuisées, la plupart des poissons ont disparu faut de pouvoir se reproduire.

500 millions d'hommes habitent les régions désertiques du monde, davantage que toute la population européenne.

Ces quelques chiffres ne sont qu'une liste non exhaustive. Encore bien des chiffres peuvent faire peur... A vous de juger.

Partager cet article
Repost0
29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 23:13

 

Au visionnage du film "HOME", tout a prit son sens. Les problèmes environnementaux actuels ne sont que les conséquences de nos actes d'hier. Depuis environ 60 ans, nous avons bouleverser le rythme de la vie, l'équilibre naturel, l'environnement sans lequel toute forme de vie ne pourrait exister, ou du moins subsister.

Notre égoïsme et notre individualisme a prit le pas sur l'universalité, la solidarité et le bien être commun. Penser aujourd'hui nos actes c'est déjà de la préservation environnementale. "Tout est lié" (Citation du film), la terre est le miroir dans lequel le soleil se regarde. Sans cette énergie incroyable, la vie ne serait plus possible.

Construisons industrie chimique, industrie pétrolière, centrale à énergie fossile, ... n'a amené que déchéance et déclin de l'espère humaine.

Réagissons dès aujourd'hui, car "on sait qu'un seul homme peut abbatre tous les murs, toutes les frontières, et réformer le monde dans lequel on vit". C'est aujourd'hui que se joue les enjeux de demain. Effacer nos erreurs d'hier, repartir sur de bonnes bases, nous remettre en question, telles sont les principales étapes préléminaires à effectuer.

Notre terre est en danger, écoutons son appel, entendons son cri de douleur : elle nous parle, tous les jours. La fonte des glaciers, la disparition des espèces à vitesse grand "V", la diminution des ressources naturelles, le réchauffement climatique, les inégalités de richesse qui se creuse à travers la consommation des ressources, la sécheresse, le bouleversement climatique, ... tous les jours nous ressentons un peu plus cette misère grandissante.



"Tout s'accélère", et oui tout s'accélère, notre mode de vie capitaliste du 20ème sièle aura peut être dans un avenir plus proche que certains pensent, raison de nous. L'homme se détruit lui même, et par ce fait, détruit la nature qui lui a tant donné : à commencer par la vie, mais aussi des moyens de subsistance à travers l'agriculture en premier.

Quel est l'enjeu qui doit être prioritaire des gouvernements actuels ? La préservation des denrées naturelles, de notre environnement sans lequel rien ne serait possible. Des gouvernements préfèrent miser leurs capitaux sur une défense militaire, un développement d'une économie capitaliste, ..., bien entendu ces politiques sont nécessaires au maintient de l'ordre et à la prospérité et au développement de chaque Etat; mais des thèmes comme l'éducation, l'aide alimentaire, aide au développement, et l'environnement ne devraient-ils pas être au centre des préoccupations territoriales et politiques de nos gouvernements trop capitalistes?

Nous sommes toujours dans une société presque dictatoriale, où l'économie, la monnaie et les finances sont les rois et reines régnant sur ce monde forgé depuis quelques décennies. La liberté, la solidarité, la fraternité, l'égalité sont des notions à défendre, je le crois profondément. Seul on peut résoudre quelques problèmes, mais unissons nos voix, nos actes et nos pensées pour refonder un monde plus équilibré, plus juste, plus respectueux de nos valeurs morales et de notre environnement.

Luttons ensemble pour un avenir plus sain. Il n'est pas trop tard, nous avons encore quelques années pour renverser la vapeur, alors UNISSONS NOUS A CETTE NOUVELLE CAUSE QUI GRANDIT DANS NOS CONSCIENCES! L'ENVIRONNEMENT DOIT ETRE UNE PRIORITE ABSOLU, ELLE EST L'ESSENCE MEME DE NOTRE VIE!

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 17:04

Le 07 décembre, le monde a rendez vous à Copenhague.

2 semaines pour tout changer : c’est l’objectif du sommet de Copenhague qui se tient au Danemark du 07 au 18 décembre 2009. Les acteurs réunis au Bella Center doivent certifier d’un plan climat.

Mise en bouche. Préservation de l’environnement, développement durable, biodiversité, équilibres naturels, telles sont les priorités de chaque pays. Pas sur. Tel le village gaulois d’Astérix, des irréductibles, et non des moindres, ne s’alignent pas sur les objectifs mondiaux. La conférence de Copenhague s’ouvre sur un goût amer. Des climatologues britanniques sont accusés d’avoir falsifié des données climatiques après la publication de leurs mails piratés. Sur fond de « Climategate », les délégations vont devoir accoucher d’un plan de relance climatique afin d’endiguer les effets néfastes de l’activité humaine sur l’environnement.

Le retour de la bipolarisation ? Telle une sorte de « guerre froide », le monde est titillé entre l’action timide et tardive des Etats-Unis, et la froideur de la Chine. Serait-ce un retour en arrière, où l’Europe est tiraillé entre capitalisme d’un côté et communisme de l’autre. Peut être pas, mais les faits sont là. « Les Etats-Unis considèrent que le premier projet d’accord mis vendredi sur la table par les responsables des négociations avantage les pays en développement, et surtout la Chine ». Quand à la Chine, sa réaction ne se fait pas attendre ; elle « exclue toute responsabilité dans un éventuel échec ». La vice ministre des affaires étrangères He Yafei, affirme « je sais que certains diront que c’est la faute de la Chine. C’est une stratégie de certains pays développés ».

Impasse et désillusion. La rumeur d’un échec hantait les couloirs du Bella Center. Les négociations au point mort, chacun se retranche. Tout le monde se jette la responsabilité du désordre climatique. Les pays émergent veulent que les pays industrialisés renouvellent leurs engagements pris lors du protocole de Kyoto en 1997 ; et les pays industrialisés souhaiteraient plus d’initiative de la part des pays émergents. Washington ne propose qu’une baisse de 4% de ses émissions de Gaz à effet de serre (GES), par rapport à 1990. Le premier ministre belge Yves Leteme a réagi : « c’est peu quand même pour un président (Barak Obama) qui veut prendre le leadership écologique ». En fin de compte les objectifs de réduction voulus par les pays les plus industrialisés sont loin d’être remplis. Au final, ces derniers ne proposent d’une baisse globale comprise entre 12 et 16% des GES d’ici à l’horizon 2020 ; alors que les prévisions scientifiques avaient placé la barre bien plus haute : entre 25 et 40%. Face aux critiques de leur faible objectif des 4%, les Etats-Unis réagissent. Ils sont désappointés par le « manque de contraintes sur les grandes économies émergentes, singulièrement la Chine, premier pollueur mondial ». Les objectifs pris lors du protocole de Kyoto en 1997 par le Canada, le Japon et l’Australie sont loin de la réalité. Quant à la Chine, elle a affirmé officiellement « qu’elle n’accepterait pas de contrôle international sur ses plans climats domestiques ».

Le bon élève, l’Europe. Face au réchauffement climatique et à l’avertissement par l’OMM que la première décennie du 21ème siècle serait la plus chaude jamais enregistrée depuis 1850 ; l’union européenne a bouleversé ses habitudes environnementales. Depuis le protocole de Kyoto, l’UE s’efforce de réduire ses GES, estimés de 20 à 30% d’ici à 2020 par rapport à 1990. Des divergences subsistent au sein de l’UE quant à l’objectif des 30% difficilement atteignables. Le sommet en déroute, les pays européens reprennent les commandes. Une aide de 6 milliards € sera apportée aux pays les plus pauvres.

A Bruxelles, à l'issue d'un sommet de l'UE, les chefs d'Etat européens ont convenu d'accorder 7,2 milliards d'euros d'aide rapide aux pays pauvres sur trois ans, soit 2,4 milliards d'euros par an.

 

 

La France, le Royaume-Uni et l’Allemagne ont collecté à eux seuls près de 3,5 milliards €, soit près de la moitié du financement total demandé à l’UE pour faire aider les pays pauvres à faire face aux changements climatiques. « C’est un signal de solidarité exceptionnel de la part de l’UE » affirme Angela Merkel, chancelière allemande. Quant à Nicolas Sarkozy, il « pense que c’est suffisant pour amorcer une alliance entre l’Europe et l’Afrique ».

Déconfiture onusienne. Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki Moon, a lancé lors de ce congrès un appel à l’aide aux dirigeants du monde entier. En effet, il demande expressément de trouver « un compromis » dans la lutte contre le réchauffement de la Terre. Face au fantôme de l’échec de cette conférence, l’ONU est en ébullition et demande aux délégations participantes de trouver une solution. « J’appelle les dirigeants du monde à prendre leurs responsabilités, à faire ce qu’il faut, j’appelle les négociateurs à redoubler d’efforts pour trouver un compromis » a ajouté M Ban.

Le 2°. Certaines nations jouent leur survie lors de ce congrès de Copenhague. En effet, le seuil des 2° ne doit pas être dépassé pour certains Etats insulaires ; où l’on peut voir déjà certains mouvements de population face à la montée précoce des eaux. Pour assurer le bon équilibre environnemental et un arrêt dans la montée des eaux, ces pays demandent expressément à ne pas dépasser un réchauffement climatique général de 2°, voire même de 1,5°. Faisons vite ça chauffe. La déclaration de Collin Beck, chef de la délégation des Iles Salomon est sans appel : « Il nous sera absolument impossible d’accepter un accord qui nous conduirait vers un réchauffement supérieur à 1,5° ». « Ce que nous négocions aujourd’hui ici c’est notre survie. Certains d’entre nous assistent déjà à l’exode de leur population », ajoute même Antonio Lima, son homologue du Cap Vert. L’alliance des Etats Insulaires a d’ailleurs présenté en parallèle son propre texte à norme environnementale ; projet centré sur le problème de la montée des eaux.

Manifestations et ombres au tableau. Des manifestations ont éclaté dès les premiers jours de la conférence de Copenhague au Bella Center. En effet, de nombreux militants d’ONG, comme Greenpeace, ont été emprisonnés, car jugés trop dangereux pour le bon maintien de ce sommet environnemental. Une brasserie aux abords du Bella Center avait même été transformée en commissariat-prison de quartier, afin de « mettre au frais » tout manifestant trop belliqueux.

Samedi 12 décembre : 100 000 manifestants ; dont 3 000 militants de l’ONG « Amis de la Terre », et 400 casseurs du groupuscule « Blacks Blocks » arrêtés par la police danoise.  

Autres ombres au tableau : c’est le sommet climatique le plus polluant jamais organisé par les délégations mondiales sous la houlette de l’ONU. En effet, des milliers de voitures-limousines ont été demandées par les pays participants à cette quinzaine. Rien que pour la France, les autorités du gouvernement Sarkozy ont commandés plus de 100 limousines supplémentaires pour conduire nos dirigeants. L’aéroport de Copenhague, lui aussi, peut être pointé du doigt. Loin de pouvoir contenir tous les avions et jets privés des délégations participantes, des stratégies ont du être trouvé. Les avions atterrissant à Copenhague pour déposer leurs passagers, devaient repartir en Allemagne ou en Suède afin d’y être entreposés. Puis ces appareils revenaient à Copenhague pour reprendre leurs passagers, les déposaient dans leurs pays, et repartaient pour être stocker. Que de carburant brûlé pour Rien… que de Pollution.

Un problème général, une réussite locale. Les élus locaux veulent se faire entendre lors de cette quinzaine environnementale. En effet, ils considèrent que c’est d’abord à l’échelon local que l’action contre les changements de climat se fait. L’on peut voir que certaines villes ont adopté des mesures afin de prévenir les hausses d’émissions de GES. En France, la ville de Nantes peut être mise en lumière. Les nantais peuvent être fier de leur politique environnementale depuis quelques années. Leurs projets en quelques lignes : une politique de plantation et de préservation de forêts urbaines, un plan de mobilité avec un système de vélo en libre service et un système d’extension de transports collectifs, une amélioration des infrastructures comme la construction de logements sociaux exemplaires. Améliorer la performance énergétique des bâtiments est une des priorités nantaises. Deux hectares de panneaux photovoltaïques vont être installés sur le territoire de Nantes Métropole, soit la consommation électrique annuelle de 500 logements.

Une conférence à demi teinte. Sans compromis mondial, la Terre est alors toujours en danger !

 

Partager cet article
Repost0
5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 17:33

Du nouveau. C'est peu de le dire, depuis la clôture de la conférence de Copenhague en décembre 2009, les nations s'empressent de publier leurs priorités, leurs objectifs, leurs promesses en matière de préservation de l'environnement et de gestion de nos ressources. Quelle avenir pour quelle planète?

http://www.courrierinternational.com/files/imagecache/dossier/illustrations/article/2009/10/united_nations_climate_change_conference__copenhagen_2009__cop15.jpg


Bientôt, un résumé complet de la conférence de Copenhague, l'enjeu de la taxe carbone en France, les nouvelles missions climatiques des gouvernements, les impacts à éviter et à prévoir...

Les premiers articles seront disponibles dès ce week end, ou au pire début de semaine prochaine. L'actualité toujours en avant, les enjeux géopolitiques, climatiques et économiques de notre planète Terre.

Partager cet article
Repost0
15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 14:42
- Les conséquences pour la forêt amazonienne sont visibles...

 

On constate un déséquilibre dans l'Amazonie, tant au niveau végétal qu'animal. Mais aussi un déséquilibre climatique. Depuis quelques années, un phénomène de sécheresse est observé au dessus de la forêt. Il y a également de plus violentes précipitations. Les conséquences climatiques dues à la déforestation ne peuvent encore être établies de manière certaine et scientifique. On constate néanmoins un phénomène réel, la modification de l'écosystème. Les espèces animales sont chassées à cause de l'agriculture et la nouvelle présence de l'homme "moderne". Certaines espèces ne peuvent s'accommoder à de nouveaux espaces. Il y a donc des disparitions d'espèces animales.

 

Les espèces végétales elles, disparaissent lors de déforestations. Ceci pose un réel problème pour la biodiversité végétale. La déforestation va limiter cette biodiversité. Il faut également savoir que si, il y a une disparition d'espèce végétale, il y a disparition d'espèce animale. En effet, l'espèce animale qui se nourrit de cette plante (qui vient à disparaître) à son tour a de fortes chances de disparaître s'il ne peut s'accommoder d'une autre. C'est le principe de la chaîne alimentaire. Un exemple très connu: Le Panda en Chine.



 

Attention: La corrélation entre les déforestations dans le monde et donc en Amazonie, et les modifications climatiques ne peut être prouvée de manière scientifique. Néanmoins, cela semble être une des principales causes de modifications de la planète. Depuis une dizaine d'années, il n'y a jamais eu autant de bouleversements climatiques. La fonte des glaciers, le réchauffement de la planète, les inondations, les records de chaleurs, les tempêtes.... Nous sommes témoins de bouleversements de la planète. D'ici moins de 100 ans, certaines îles risquent de disparaître à cause de la montée des eaux si rien n'est fait.

 

 

Partager cet article
Repost0
15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 14:30

Manifestants contre forces de police; schéma classique de toute marche à l'encontre d'une actualité. Quelques dérrapages et faits divers à Copenhague.

manifestation copenhague
un homme avec une poussette, se retrouve bloqué sur le trottoir, entre une haie piquante et des policiers pas vraiment commodes. Certains escaladent la haie et se dispersent en courant. La même opération se répète en de multiples points. Il y a désormais près de 40 camionnettes des forces de l'ordre, deux bus arrivent.



Durant les manifestations, le royaume danois ne mégotte pas sur les moyens. Pour souscrire tout débordement de la part des manifestants, les effectifs de police ont été lourdement renforcés. Le cordon de «robocops» se resserre. Dans le cortège, quelques uns des fameux «black blocs», mais aussi des indépendants. Peu à peu, le dispositif policier grossit. Les hélicos tournoient dans le ciel, et le cordon de «robocops» se resserre. «Nous n'avons rien fait d'illégal, restez groupés, c'est notre droit à manifester», crient les activistes. Certains, prudents, sortent du cortège. Telle Eeva, militante finlandaise d'Attac, boucles rousses et chapeau rose sur le crâne. «C'est très exagéré de la part de la police, plus nombreuse que les manifestants. Il n'y a pas eu de violences, pas de pierres jetées. Ils bloquent de manière préventive. Dès que tu t'habilles en noir et que tu écoutes du RN&B, tu es considéré comme dangereux». Une militante belge, elle, regarde le convoi, dépitée: «ça va se finir comme hier, ils vont arrêter tout le monde. Ce n'est pas comme ça qu'il faut agir, avec une manifestation annoncée. Il faut faire des actions directes». La manifestation est partie depuis à peine vingt minutes, elle a progressé de 500 mètres. Le port est encore loin et les policiers accélèrent le mouvement. Au croisement entre Gronningen et Ostervolgade, des camionnettes déboulent. Un cordon se forme. Impossible de passer. Un petit groupe d'une vingtaine de personnes, dont

Partager cet article
Repost0
15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 14:20

La couche atmosphérique de la Terre joue le même rôle que les parois d’une serre. En l’absence de nuages, elle laisse passer la plus grande partie des rayons du soleil mais retient la chaleur de la Terre en interceptant le rayonnement infra-rouge émis par la surface terrestre. Environ 50 % du rayonnement solaire traverse l’atmosphère jusqu’à la surface terrestre. Une grande partie de cette énergie est absorbée par le sol. Celui-ci émet un rayonnement infrarouge (de grande longueur d’onde), dit thermique parce qu’il est en fonction de la température de la surface émettrice. Une grande part de ce rayonnement infrarouge thermique est interceptée par les gaz absorbants (vapeur d’eau et CO2, essentiellement) présents naturellement dans l’atmosphère, diminuant ainsi sa perte vers l’espace. L’énergie ainsi " piégée" par l’effet de serre naturel provoque une élévation de la température en surface. Sans cet effet de serre, la Terre aurait une température moyenne de –18 °C au lieu de 15 °C. L’effet de serre est donc essentiel pour le maintien et le développement de la vie.


http://www.manicore.com/documentation/serre/ges_graph5-2.jpg

Depuis l’ère industrielle, l’effet de serre, phénomène naturel, est amplifié par les activités humaines émettrices de gaz absorbant les rayonnements du soleil. Il en résulte un effet de serre "additionnel", qui se traduit alors par un réchauffement global. Conséquemment à ce phénomène, c’est tout l’équilibre climatique qui est en jeu. Tous les gaz qui absorbent les rayonnements solaires sont des gaz à effet de serre.

Les autres secteurs émmeteurs de GES nuisant à notre équilibre climatique :


http://193.48.79.10/cg06_v3/cms/plan_climat_06/upload/File/Images/gr_carbone_1.jpg

De gauche à droit : industrie de l'énergie; procédés industrielss; tertiaire; résidentiel; agriculture et pêche; fret; déplacement des personnes; construction et voirie; fin de vie des déchets.

Partager cet article
Repost0
15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 14:04
Les propositions gouvernementales pays par pays.

 Une répartition inégale des GES; des politiques gouvernementales différentes ayant apparaemment un seul but : sauver la planète selon les motifs de la conférence de Cipenhague.

http://newsoftomorrow.org/IMG/jpg/chaud-2.jpg

Le carbone est un gaz à effet de serre : ses émissions conséquentes aux activités humaines contribuent au réchauffement climatique. Le dioxyde de carbone (CO2), également appelé gaz carbonique, est un gaz présent à 0,0375 % en volume dans l'atmosphère. Les émissions de carbone peuvent être d'origine naturelle : elles proviennent du sous-sol, des incendies de forêt, des éruptions volcaniques, ou encore de la respiration animale et végétale. Les émissions de CO2 sont également issues des activités humaines : combustion des énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz), émissions provenant de certaines industries, du transport automobile, maritime et aérien, et de la déforestation. Le carbone, au même titre que la vapeur d'eau, le méthane, l'ozone ou le protoxyde d'azote, est un gaz à effet de serre. Les gaz à effet de serre des activités humaines contribuent au réchauffement climatique.

 

Objectif : une réduction des émissions de 20% en 2020, par rapport à 1990. Ce chiffre pourra atteindre les 30% en cas d'accord très ambitieux à Copenhague. L’Europe joue un rôle moteur dans le respect du climat, et les objectifs intra européens remplis depuis les accords de Kyoto suggèrent les pays les moins avancés de se développer dans les meilleures conditions climatiques possibles.

Leurs objectifs : une baisse de 17% des émissions de GES en 2020. Cette baisse pourra atteindre les 42% en 2030 mais... par rapport à 2005. Soit, par rapport à 1990, environ -4% en 2020 et -33% en 2030.Volontariste dans son discours OBAMA doit faire face aux erreurs précédentes de la première puissance mondiale. La nouvelle proposition américaine semble frileuse. De plus leurs objectifs semblent difficile à atteindre vu leur handicap de départ.

Objectif : engagement volontaire pour une réduction 36 à 39% ses GES d’ici à 2020. Le gouvernement brésilien a cosigné avec la France quant à un accord climatique. En ce qui concerne ses alliances, le fait est beaucoup plus compliquée : les intérêts brésiliens sont différents de ces de ses alliés. Une chose est sur, la lutte contre la déforestation est une priorité pour le gouvernement. (Plus grande surface de forêt tropicale au monde)

Objectif : un plan de réduction d’environ 40 à 45% de GES d’ici à 2020. Ici, on ne parle pas de limitation de carbone, mais Pékin préfère débattre sur l’intensité de carbone. La Chine fait appel aux pays les plus développés à participer au financement d’un développement technologique beaucoup moins émetteur.

Objectif : Espoir. «Ce que nous attendons de Copenhague, c’est moins d’injustice», a déclaré le Président de l’Union africaine. Marginalisé, l’Afrique parlera cette fois-ci en son nom propre, enfin au nom du Premier ministre éthiopien, Meles Zenawi, qui portera la voix des 53 Etats du continent lors de ce sommet. La France espèce pouvoir conclure un pacte Europe-Afrique. Le continent envoie des aides financières et pécuniaires pour aider au transfert de technologie énergétique.

Objectif : réduire ses GES de 20 à 25% en moins de 10 ans. Son enjeu. L’inde refuse un plan dicté par les grandes puissances : avec moins de 2 tonnes par an par habitant, et une pauvreté les plus difficile au monde, mais espère partager le fardeau climatique de manière équitable. Mais l’Inde s’est senti obligé de bouger, alors que Chine et Brésil avaient avancé des chiffres. Son ambition ? «Un partage du fardeau équitable», dit le Premier ministre.

La clôture de la conférence de Copenhague nous délivrera surement les véritables objectifs finaux quant aux nouvelles normes à adopter pour limiter le déclin de l'environnement au niveau mondial. Un réchauffement climatique à refroidir au plus vite.

Partager cet article
Repost0