Selon un rapport de Lille métropole, cette initiative aurait comme principaux objectifs de : (et ce dans une perspective de vie durable et de développement durable).
--> Concilier une haute densité d’habitat et l’amélioration de la qualité de vie
--> Préserver la ceinture verte et les terres agricoles de l’extension urbaine.
--> Réduire l’impact environnemental de la régénération urbaine, en construction des bâtiments à Zéro émission.
--> Soutenir l’économie et les communautés locales, sans doute dans un souci de développement local, et d’autonomie du quartier.
--> S'approvisionner en énergie et matériaux dans la région, afin de limiter les GES lors de trajets dit « inutiles ».
L’impact environnemental doit être quasi-nul. Au niveau de la construction des bâtiments, on prône la récupération de matériaux de démolition, ou dans un souci de respect de la planète, on n’utilise que du bois écocertifié WWF (Chêne ou noisetier par exemple). Afin de mieux maîtriser les dépenses énergétiques des différentes habitations, celles-ci sont dotées d’une très forte isolation, de système de récupération de pluie pour les toilettes, d’un traitement des eaux usées sur place, d’un processus de chauffage solaire passif et actif, de cogénération biomasse, de ventilation naturelle avec récupération de chaleur.
Ainsi toutes les énergies renouvelables sont présentes dans ce quartier. L’exemple britannique de la BEDZED, de Stockhölm, du quartier Fribourg en Allemagne, ou encore les projets chinois ne doivent pas être les seuls. La France, elle aussi doit se doter d’éco-quartiers au plus vite. Ca chauffe !